Blog de Laure Leforestier

« Agence sympa cherche blogueurs et blogueuses sympas »

J’ai trouvé ça dans ma boite mail :

Bonjour,

(…)

Nous, c'est à dire une agence de com' indépendante, (…) travaillons pour des clients, des entreprises et des marques qui souhaitent développer leur visibilité sur le web. Comme nous sommes nous-mêmes blogueurs, parfois depuis l'antiquité du web, nous accordons une vraie place à ce média et respectons ses codes.

(…)

Je vous contacte pour un deal simple : vous écrivez une chronique de deux petits paragraphes sur un site (avec un thème défini), vous faites le lien sur votre site et vous recevez une carte cadeau en échange. (…)

Parmi les entreprises qui nous font confiance, il y a les XXX, premier producteur français. Depuis 2006, XXX a lancé www.XXX.fr, un site de recettes et de conseils pour les vacances et l'été. En 2008, le site a comptabilisé plus d'un million de pages vues grâce à des contenus originaux. En 2009, le site continue et lance les "matchs de l'été", des thèmes sur lesquels les internautes pourront réagir ou voter :

"l'été en maillot : assumer ou faire un régime ?",

"partir en week end avant l'été : partir en amoureux ou entre copains ?",

"les vacances : le sport ou le farniente ?"

(…)

Votre mission : écrire votre commentaire (1 ou 2 paragraphes) sur l'un des matchs qui sera publié sur le site deXXX.fr (vous y serez clairement identifié(e) et un lien pointera vers votre site) et raconter votre prise de position sur votre blog avec un lien vers le site de XXX.

Parce que tout travail mérite salaire, vous recevrez une carte-cadeau d'une valeur minimum de 75€ en contre partie de votre temps (ou un règlement contre facture ou un achat d'espace sur votre site pour le même montant). Le deal est simple clair et gagnant-gagnant.

J’ai répondu :

Bonjour,
J'ai bien pris connaissance de votre offre d'une agence "sympa" qui recherche des blogueurs et blogueuses "sympas". J'espère être sympathique, pourtant je ne qualifierais pas votre démarche de "sympa" : l'intitulé de votre mail me paraîtrait plus pertinent si vous aviez écrit : agence habile cherche blogueurs et blogueuses vénaux.
Je tiens un blog politique, je ne vends pas de soupe ou de melon. Je ne sers pas à développer la visibilité d'une marque sur le web. Et j'aurais bien du mal à me positionner sur vos problématiques de l'été :

"l'été en maillot : assumer ou faire un régime ?",

"partir en week end avant l'été : partir en amoureux ou entre copains ?",

"les vacances : le sport ou le farniente ?"

J'aurais bien du mal aussi à vous souhaiter bonne chance dans votre recherche, vous agissez pour soutenir un système à l'opposé de mes valeurs. Enfin, essayez avec les blogueurs de droite, on ne sait jamais...

Fini de rigoler !

Certain de mes lecteurs assidus me commente le nouvel habillage de ce blog. J’ai fait disparaître toute photo de moi, obéissant en cela aux nouvelles règles éditées par le ministère de l’Intérieur.

Il y est décrit la pose que doivent prendre les sujets pour les photos d’identité destinées aux documents du même nom. On peut y lire : Le sujet doit fixer l'objectif. Il doit adopter une expression neutre et avoir la bouche fermée.

Comme le souligne fort judicieusement Jules :

Le sourire est suspect. Car devant l'autorité, on est tenu d'adopter une forme de gravité. On ne badine pas avec le gendarme, même en photographie ; cela ferait soupçonner l'insouciance ; voire l'insoumission. C'est que l'on est tenu de craindre celui qui vous contrôle.

Pour l’instant je fais comme tous les Français : je serre les dents et je ferme ma gueule (enfin presque). Jusqu’à quand ?

Ce blog ne passera pas les deux ans

En tout cas en l’état !

A force de fréquenter des blogueuses engagées, je dois me rendre à une évidence. L’apparence de mon blog ne ressemble plus à rien ! Quand je vais visiter les blogs des copines, ça a de la gueule, c’est élégant.

Le mien a plus que vécu, trop bariolé, je n’en peux plus de l’orange et du bleu. J’ai fini par le prendre en horreur comme une vieille sape démodée, trop portée et toute élimée. Bref, il est daté d’une époque qui n’est plus celle que je vis aujourd’hui.

Alors je vous annonce, lecteurs, ça m’a pris comme une violente démangeaison, ça va changer, et très bientôt. Au passage je vais aussi modifier mon accroche.

J’ai tenté un nouveau bandeau hier soir. Petit chéri de sa mère me dit que cela ressemble à un blog de cul sado-maso. Du coup, il m’a mis le doute.

Attendez vous quand même à un relooking extrême très prochainement.

Replier l’espace

Bonne année chers lecteurs. Je ne vous suis guère fidèle ces temps-ci car fort occupée. Je range ma maison dans des cartons, j’aménage un autre nid, mignon mais petit. J’essaye de pratiquer l’épure mais ce n’est pas si simple. Prenez les livres par exemple. Peut-on se séparer des livres qui s’accumulent ? A part quelque mauvaise littérature que l’on remise avec satisfaction dans un carton destiné à partir aux oubliettes, pour le reste on file chez Ikéa trouver une solution astucieuse de rangement.

Pour la musique, c’est un peu plus simple. J’ai archivé toute ma discothèque sur le portable et les disques iront se reposer quelque part ailleurs.

Et tous ces jolis souvenirs des enfants, ils sont déjà rangés pour les exhumer dans le futur à leur progéniture. Ah oui, je ne vous ai pas dit, ma fille compte mettre en route le deuxième dans pas trop longtemps et le fils aîné qui vient de s’installer avec sa copine m’a l’air d’être dans les starting-blocks. Multi grand-mère bientôt, je le vois venir gros comme une maison.

Donc je résume, je déménage le 20 et j’ai 50 ans le 29. Ca va, j’ai fait le ménage, ça aurait pu être pire…

Je n’ai presque pas triché

Taggée par Narvic lui-même inspiré par Vinvin, je joue à la chaîne de l’iPod. Le principe du jeu selon Narvic :

Vous prenez votre iPod et vous le mettez en lecture aléatoire. Vous prenez les chansons comme elles viennent, sans tricher, pour répondre aux 13 questions suivantes. Première chanson = première réponse, etc, etc.

Bon d’accord, il faut un iPod et je n’en ai pas. J’ai donc pris mes playlists Deezer et j’ai oublié l’aléatoire. Et voilà le résultat :

1. Comment vous sentez-vous aujourd’hui ?

Comme un jour où je me sens bien, la lumière est belle, le café fume et normalement j’ai enfin vendu ma maison !

My favourite things John Coltrane

Découvrez John Coltrane!

2. Comment les autres vous voient ?

En fait, je n’en sais rien ou je n’ai pas envie de savoir, alors j’ai décidé de me faire plaisir !

Sexy The Black Eyed Peas

Découvrez The Black Eyed Peas!

3. Quelle est l’histoire de votre vie ?

Sans commentaires…

Ah tu verras, tu verras Claude Nougaro

Découvrez Claude Nougaro!

4. Quelle chanson pour votre enterrement ?

I loved you so much, all of you, my family, my friends, my people…

Ain’t no mountain high enough Marvin Gaye

Découvrez Marvin Gaye & Tammi Terrell!

5. Comment allez-vous de l’avant dans la vie ?

En changeant régulièrement de niveau de conscience

Insert A Mental relaxation Guru

Découvrez Guru!

6. Comment être encore plus heureux ?

Arrêter de se prendre la tête, les cons ne connaissent pas leur bonheur. Vamos todos a bailar y guarachar !

Que rico boogaloo La 33

Découvrez La 33!

 

7. Quelle est la meilleure chose qui vous soit arrivée dans la vie ?

Jean, Lola et Ange parce ce sont eux qui me relient à la terre.

Family affair Sly and the Family Stone

Découvrez Sly & The Family Stone!

+ une spéciale dédicace à Princesse Inès

Isn’t she lovely ? Stevie Wonder

Découvrez Stevie Wonder!

8. Pour décrire ce qui vous ravit ?

It’s allright, I feel it ! Nuyorican soul

Découvrez Nuyorican Soul!

9. Votre boulot pour vous c’est…

En fait, je suis une vraie paresseuse

I’m feeling like a slave getting whipped on my backside

Down the backstreets Guru

Découvrez Guru!

10. Que devriez-vous dire à votre boss ?

Là tout de suite, j’en ai plus de boss, mais c’est bien ce que j’aurais dit au précédent…

Esto te pone la cabeza mala Los Van Van

Découvrez Los Van Van!

11. Pour vous, l’amour c’est… ?

Le titre se suffit à lui-même, pas besoin d’en rajouter

Joy and pain Maze

Découvrez Maze!

12. Pour vous, la sexualité ça doit être…

And all our reasons got to fade

Reasons Earth Wind and Fire

Découvrez Earth, Wind & Fire!

13. Bloguer pour vous c’est… ?

Chuis pas sûre que ça ait un rapport, mais je n’aurais jamais pu terminer cette revue musicale sans la déesse Erikah

Next lifetime Erikah Badu

Découvrez Erykah Badu!

Et pour finir en beauté, c’est une chaîne de blog libre, reprend qui veut. N’empêche, j’aimerais bien entendre la musique de Franpi…

Interactivité

Dans l’un de ses derniers posts, l’écrivain Michel Perdrial se réjouit de ne pas ouvrir son blog aux commentaires. Il écrit cela après que Grand-Rouen ait relayé l’un de ses billets parlant de Rouen et qu’il ait essuyé dans les commentaires plusieurs remarques assez déplaisantes à son encontre. Il nous rappelle sa démarche et formule un souhait : J’espère, je suppose, qu’il en est d’autres de ces lecteurs locaux qui lisent mes billets quotidiens comme je désire qu’ils soient lus, c’est-à-dire avant tout comme des textes littéraires, et qui comprennent que « je n’ai pas envie que l’on écrive dans mes marges ».

Bien que lectrice assidue de son blog, je ne suis pas certaine de le lire toujours comme il le désire. Il se défend d’être rouennais et pourtant, la ville ou ses alentours sont bien présents dans son écriture et c’est principalement cela que je viens chercher dans ses lignes, sa sensibilité, son style narratif sur des lieux, des décors qui me sont aussi familiers.

Dans un autre genre, Félix Pheillon s’inquiétait récemment des commentateurs (dont je fais partie) qui viennent régulièrement déposer quelques mots sur ses billets. Rouen Chronicle devient une entreprise qui m’entraîne (m’a entraîné) sur des terrains dont je n’imaginais pas l’étendue. Jérôme Neveu m’assure que ce « blog » (puisque « blog » il y a) est lu et commenté. Sans doute. Mais ces commentaires, et les gens qui s’y astreignent, m’effraient plus qu’ils me contentent. Certains notent mes étourderies qu’ils ont tôt fait de transformer en fautes d’orthographe.

Une relecture attentive de ces commentaires, somme toute peu nombreux, me donne plutôt l’impression que ceux qui viennent se manifester, sont au contraire fort respectueux et admiratifs de la prose de Pheillon. Etrange décalage entre le ressenti de l’auteur et les appréciations sur son travail.

Je suis dans une démarche différente des deux auteurs précédemment cités mais leurs interrogations me renvoient à mes propres questions sur ce blog. Lorsque je rédige quelques lignes pour satisfaire mon addiction bloguesque, suis-je toujours lue et entendue comme je le souhaiterais ? Et c’est quoi au fait ma démarche ? Il y a un peu plus de dix-huit mois, j’ai démarré un blog de campagne que j’ai, les élections législatives passées, fait évoluer en blog politique. Puis j’ai largué la blogosphère orange dans laquelle je m’étais immergée et continué à parler de politique locale. Et là, je ne sais plus trop sur quoi j’aurais envie de m’exprimer, les (d)ébats politiques locaux, souvent d’un niveau de cour de récré ne m’amusent plus guère…

Pourtant quand le rythme des billets se ralentit terriblement, la fréquentation du site garde un petit matelas de visites quotidiennes. Il y a indéniablement des « habitués » avec lesquels pour la plupart j’ai tissé une espèce de relation. Je décide d’oublier les fâcheux, souvent anonymes, qui manient l’insulte et la méchanceté gratuite. Ancienne « femme publique », je suis sans doute un peu plus blindée face aux attaques, en même temps, je ne suis pas maso.

Voilà, il va falloir évoluer et en ce moment je suis larguée !

Pas à une contradiction près

Il n’y pas si longtemps, je vitupérais sur ce blog contre les chaînes à la con. Mais comme depuis bientôt un mois, je n’ai rien à vous dire et pour vous prouver que je ne suis pas encore morte (même si je tiens une toute petite forme), je fais cette chaîne envoyée par Jérôme et qui tourne déjà depuis un bon moment sur le ouaib.

Fernand Braudel, L’identité de la France, p. 123, 5^e ligne :

jachères ont chacune la moitié de l’espace qui peut être labouré,

ou travaillé à la bêche, à la pioche.

Mais partout, hier, la terre cultivée s’affirmait, envahissante,

face aux friches et aux forêts qui la bordaient, face à la terre inculte,

rébarbative que voyageurs et économistes observent avec consterna-

Quelqu’un peut-il m’expliquer l’intérêt de la démarche ?

Et sinon, pour rigoler deux minutes, vous en pensez quoi de la nouvelle version de Grandrouen ? D’aucuns vont me traiter de parano, mais je trouve ce blog devenu assez révérencieux avec la nouvelle municipalité, il aurait perdu comme un peu de son mordant initial… Allez au hasard, quelques exemples :

Voici ce qu’on pouvait lire fin juillet 2007 : Dernière soirée des Terrasses du jeudi. Ensuite, c’est la morne plaine d’août jusqu’à la rentrée…

Heureusement depuis que les socialistes sont à la mairie, Grandrouen, début août 2008, découvre ce qui se passe dans la ville à la même époque : Rouen est calme. Normal, c’est la quinzaine où les rouennais sont les plus nombreux en vacances, loin de la ville. Mais Rouen bouge encore. Quelques idées pour bouger un peu et profiter de ces deux semaines d’août…

Et même qu’ils passent du jazz au Hangar 23 ! Elle est pas belle la vie ? Perso, question jazz, je vous recommande Ibrahim Maalouf pendant Ramdam.

Ibrahim Maalouf - New morning
envoyé par boutiknoar

Bouffeurs de yaourt

Dernier jeudi des Terrasses et l’habitude définitivement prise d’aller écluser une bière en backstage. Il y aura eu cette année, les habitués de la bière du jeudi, affalés dans les canapés d’Emmaüs et vieilles connaissances. Nous aurons vécu tous ces concerts « têtes d’affiche » programmés au Clos les jeudis soirs de juillet fort agacés par la qualité du son et très sceptiques quant à l’intérêt musical.

Il est amusant mais aussi troublant de confronter notre ressenti à celui de nos rejetons. Hier soir, avec quelques vieux potes, nous avons ainsi pu échanger avec mes deux fistons, enchantés, comme leurs petits camarades, du concert qu’ils venaient d’entendre, à savoir la prestation d’High Tone dont le programme officiel des Terrasses du Jeudi résume de cette manière le style musical : High Tone, c’est un métissage unique, plus que du dub, c’est un groove tribal abouti. High Tone, sans paroles mais pas sans conscience, sait par ses samples et ses sonorités traduire un état d’esprit, évoquer un monde pluriel où les cultures, toutes les cultures, peuvent cohabiter.

Ouais ! Ca pue la mélasse ce truc… Un très vieil ami qui se prend pour Hunter Thompson ces temps-ci, a résumé l’affaire de manière cruelle mais à mon sens, bien sentie : « High Tone, ces tarlouzes végétariennes ! », provoquant nos ricanements et la consternation de mes fils chéris qui ne voudraient surtout pas être pris pour des fils à Maman.

Mes fils seraient-ils des bouffeurs de yaourt ? Question préoccupante… Allez donc lire cet article de Métal Hurlant, scanné en deux parties, là et là. N’ayant pas gardé le numéro, je suis bien contente de le retrouver par la magie du ouaib.

Est-ce que les gamins ont raison, est-ce que finalement nous sommes trop vieux pour comprendre et apprécier, aurions-nous tous aussi mal vieilli que Philippe Manœuvre ?

N’empêche, il avait raison le bougre, quand il écrivait :

Mais où sont-ils passés, les hommes, bordel de merde, qu’on soit obligé d’imposer ces artefacts odieux pour faire l’unanimité des masses décervelées ?

Non mais, on ne va tout de même pas bouffer du tofu !

Tout en écrivant ce post, j’ai tenté, pour m’imprégner de ce son que je ne réussis pas à goûter, d’écouter High Tone. J’ai failli m’endormir en mourant d’ennui, vous trouverez ci-dessous le seul morceau qui ne m’ait pas trop gavée.

Découvrez High Tone!

A plus

Honfleur, l'humble cité où je repose mes membres endoloris par la débauche, serait un séjour charmant s'il n'y avait pas tant de peintres.

C’est ce qu’en disait Alphonse Allais, natif d’Honfleur et je partage son avis si ce n’est qu’aujourd’hui ce ne sont plus tant de peintres qu’il faille déplorer l’abondance mais des galeries de croûtes et des hordes de touristes.

Je m’en vais donc quelques jours là-bas, en famille garder princesse Inès. Je reviens bientôt, pour la dernière édition des Terrasses du Jeudi et récupérer petit chéri de sa mère que j’avais envoyé dans un boot camp. Nan, je rigole, il fait un camp scout en Dordogne, ça peut pas lui faire de mal… Et en plus voilà déjà deux semaines qu’il n’a plus accès à son téléphone portable, à MSN messenger, à sa X-box, cure de désintox totale. La vie au grand air, y’a que ça de vrai !

Pécho par narvic

Tapi dans son repaire, narvic guette la toile. L’animal ferait bien de temps en temps de sortir de sa tanière et venir rendre visite à une vieille copine à qui il manque cruellement. Sans nouvelles de lui, je lis consciencieusement son blog qu’il a appelé novövision, titre étrange dû sans doute aux influences conjointes d’une adolescence dans les 80’s et d’un long séjour à Berlin… Bref ! Parfois, j’accroche pas plus que ça, car son délire monomaniaque à lui, ce sont les relations entre la presse papier et le net. Chacun son truc… Autre chose, il a un peu tendance à abuser des émoticônes et ça fait marrer son pote Embruns. Faut dire qu’en quelque mois, c’est devenu une star de la blogoboule mon narvic, même que maintenant Versac Nicolas Vanbremeersch, c’est chez lui qu’il écrit. C’est peut-être pour cela qu’il me snobe désormais, chuis pas assez z’influente… Snif ! Au fait, si je ne mets pas de majuscules à son nom et à son blog, c’est parce qu’il y tient, il trouve que ça fait plus chic.

Et aujourd’hui, narvic nous dégotte un lien du dimanche tout à fait goûteux et savoureux. Allez donc lire les plaisants papiers d’Hélène la toulonnaise. Moi, mon préféré, c’est celui où elle nous parle d’Ingrid et de sa libération. Ca m’a rappelé quelque chose du côté de chez moi.
Sinon, Hélène je la kiffe grave et je lui fais plein de mégas kiss !