Pour l'antagonisme, il suffit de consulter l'article de Rue89 sur la "chose" Lady Gaga (dont je serai bien en peine de même chantonner trois notes, mais dont la seule présence inconvenante me donne envie de me mettre, par dépit, à la chanson napolitaine). Malgré les dandinements ennamourés de quelques branchouilles cocaïnés qui ont toujours confondus transgression et posture, Lady Gaga n'est qu'un phénomène de mode à la durée de vie d'un moucheron cacochyme... On a tôt fait dans ce métier de commencer comme Blondie et de finir comme Régine.
Les commentaires récents