Le fond culturel français se compose donc très majoritairement de catholiques non pratiquants (8% d’entre eux déclarent aller régulièrement à la messe) et de non-croyants tolérants, puisque les bouffe-curés rabiques constituent une survivance folklorique de l’époque glorieuse mais révolue de la lutte pour la séparation de l’Eglise et de l’Etat.
Les non-croyants ne revendiquant rien d’autre que le droit imprescriptible à être oubliés des commentateurs patentés, ils se sont fait souffler médiatiquement une deuxième place dont ils n’ont évidemment rien à cirer.
via www.causeur.fr
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