Le scrutin régional s'installe péniblement dans le paysage électoral français. Sa cinquième édition, les 14 et 21 mars, menace de se solder par un fort taux d'abstention concluant une campagne excessivement nationalisée. La région est certes appréciée des Français. Pas moins de 86 % d'entre eux se disent « attachés » à la leur d'après TNS (1). Mais ils mesurent mal l'enjeu politique que représente sa gestion, malgré les pouvoirs de cet échelon territorial en matière d'équipements publics ou de développement économique.
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