la punaise du net

Desperate Librarian Housewife

J'ai peur d'une société qui considère Internet comme un égoût et commence à se demander si il ne va pas falloir légiférer, aidée par ceux qui s'y connaissent le moins mais qui profitent de leur notoriété pour s'exprimer à son sujet avec des arguments limite point Godwin (les exemples abondent et vous en aurez un exemple affligeant ici).

via sophiebib.blogspot.com

Mary Poppins ou les rouages du système bancaire… - A tort ou à raison

C'est tout simple,  on investit son argent au lieu d’acheter des graines pour nourrir les oiseaux et le tour est joué mais parfois, la panique s'en mêle et c'est la banqueroute… Disney  nous en donne une merveilleuse illustration, voyez-vous même !

via atortouaraison.canalblog.com

Johnny, l’hiver, le froid… « La Plume d'Aliocha

Quant à moi, humble téléspectateur soupçonné indument de préférer la hernie de Johnny au sommet de Copenhague, j’ai éteint le poste. Entre nous, une tranche de “spécial people en péril” entre deux tranches de pub, assaisonné d’une pointe de sport, j’appelle pas ça de l’info, mais il faudra sans doute que je m’y habitue car j’ai bien peur que ce soit l’info de demain.

via laplumedaliocha.wordpress.com

Préservatif féminin : la tente Quechua de la foufoune | Zone Zéro Gêne, le mag

C’est le côté hyper glam’ de l’affaire : tu te retrouves avec l’abricot sous blister (et accessoirement avec le clitoris hors d’atteinte, ce qui est TRES contrariant). Et ça tire sur les poils. Et quand y a pas de poils, ça glisse.

Tout ça nous évoque donc visuellement une Brabantia*** fraichement équipée d’un sac neuf.

Du coup, si on veut bien être lucide deux secondes, on se dit ceci : je serais un mec, faudrait que la nana soit sacrément persuasive pour que j’accepte de symboliquement mettre ma bite à la poubelle.

Ceci dit, un soir, alors que le monsieur avec qui je partageais une certaine affinité épidermique venait de m’annoncer sur un ton d’apocalypse qu’il avait oublié de racheter des capotes, j’en ai profité pour sortir mon sac de couchage à Popaul, qu’il a accepté en maugréant.

via www.zonezerogene.com

Divorcées en liberté : "Liberté je crie ton nom !" | Zone Zéro Gêne, le mag

Mias bon, t’as toutes les Pravdas de la chatte qui te chantent en choeur que le secret pour refaire ta vie (oui, ta vie est défaite, sache-le, depuis que tu n’as plus un crétin atrabilaire qui te pète les ovaires dès le petit déj, un bellâtre de seconde zone qui te cocufie, ou une brute épaisse qui te colle des baffes), c’est :
1- de travailler ton look
2- de sortir.

Parce que tiens toi bien, le mâle qui va te transformer à nouveau en Fâme, tu peux le rencontrer partout et surtout quand tu ne t’y attends pas : dans une expo, à une terrasse, dans les bois, sous une table (non, pas DTC. Pas à ce stade). Et sûrement pas entre ta salle de bain et ta cuisine, où là, c’est scientifiquement prouvé, tu ne rencontres que Monsieur Propre.

Ce que l’on cherche frénétiquement, parmi ces excellents conseils, c’est le paragraphe sur les enfants. On en fait quoi pendant l’afterwork, ou toute autre sortie, dis, madame la journaliste ? On les attache au radiateur avec une gamelle de nuggets et une écuelle de coca ? Qui va aller à ta place chercher Zorg à la garderie, emmener Vampirella chez le dentiste ? Ah, madame la journaliste te dit : «Mais enfin, une baby-sitter !!!»

via www.zonezerogene.com

Rien à rajouter, c'est trop trop vrai !

Un mort, des morts. : Blog de Perséphone

Mais accorder tant d'importance à UN mort, ça me dépasse un peu. Cette frénésie autour de la disparition d'une personne connue est compréhensible, ça fonctionne un peu sur le même principe que la loi du mort-kilomètre, grosso modo, t'es plus touché par le décès de la boulangère au coin de ta rue que par 4000 morts dans un pays dont tu sais même pas épeler le nom. Et par l'effet de la médiatisation, le people, c'est un peu la boulangère du coin de ta rue puissance 1000, tu te sens concerné et ça va encore plus loin, car ce people, tu connais sa vie, tu l'as vu au cinéma, t'as emballé ton mari sur l'une de ses chansons, il était pas censé mourir ce con, car il était l'un de tes repères.

Et puis tout cela fascine parce que ça fait peur. Je ne pense pas que ce soit la disparition de la personnalité elle-même (ou l'éventualité de sa disparition) qui nous touche mais les deux choses auxquelles elle ramène; notre propre mort et celle d'un proche au profil similaire à celui du disparu. Johnny a le même âge que mon père, alors oui, ça me fait un frisson dans le dos de découvrir que Johnny est mortel, car ça signifie que mon père est mortel aussi.

via www.ioudgine.com

La mort est fascinante

Fin de saison - Engrenages - Blog LeMonde.fr

L’hiver dernier, puis cet automne, sur ce blog, nous avons observé, nous avons écouté, et, nous l’espérons, donné une idée de ce qui se passait, à toute petite échelle, dans une région de France. Nous voulions apporter matière à réflexion, montrer combien la réalité est souvent plus complexe, plus subtile, que ce que nous, médias, avons souvent l’habitude de traiter à coup de titres définitifs, de statistiques réductrices, et toujours désincarnées.

Dans cet esprit, nous ne ferons ici aucune conclusion générale et définitive sur l’état de la France. Si ce n’est rappeler que nous ne sommes pas tous égaux devant la crise : des secteurs sont sinistrés, d’autres vivent une très bonne année. Et constater que pour ceux qui souffrent, quoi qu’en disent les ministres, les économistes ou les institutions financières internationales, on ne peut vraiment pas parler de “reprise”.

via crise.blog.lemonde.fr

Si vous ne l'aviez encore fait, consultez tous les articles écrits par ce duo de jeunes journalistes consacré à la crise en Haute-Normandie.

Comment être un bon blogueur - internaute ? - Journal d'une Peste sur LePost.fr

Utilise les réseaux sociaux de la même façon que tu es de gauche, c'est-à-dire avec du recul. Tu auras bien intégré le no free lunch et tu ne te priveras pas de le faire savoir bruyamment. Ton utilisation de Facebook sera donc raisonnée, tu n'es pas un veau, voyons. Idem pour Twitter, qui ne sera "qu'un outil". Veille cependant à choisir avec discernement qui tu followes. Il y a des pollueurs qui peuvent te flooder ta timeline et te faire manquer le plus gros de la fête.

Le petit + : répartis ton effort, notamment sur Twitter. Dans tes following, arrange-toi pour compter au moins une personne qui fait du journalisme de liens, ça te permettra de compenser le fait qu'avec ta charge de travail tu zappes complètement l'actu. Je te conseille Narvic, une vraie pépite dans ce domaine. Ajoute une féministe, quelques jeunes, trois ou quatre personnes que tu connais en vrai, un ou deux clowns et un no-life. Là, tu peux commencer à te distraire vraiment.

via www.lepost.fr

"moi ? je suis le Pen, non je rigole...UMP encarté " : Mrs Clooney

La brasse-coulée à la française,

le souk quoi !!

voire même la scoumoune.

Tais-toi et rame.

via www.mrs-clooney.fr

Surtout regarder la vidéo, excellent reportage sur le débat identité nationale. Hommage aux 50 ans de Zazie dans le métro : Mais doukipuentdonctant ?

Pan. : Blog de Perséphone

Bref, donc là où je suis, en pleine cambrousse, y a grosso modo un voisin tous les trois kilomètres, on se marche pas dessus, par contre on n'exclue pas la possibilité de se tirer dessus. En temps que propriétaire terrien, tu dois laisser un passage pour les chasseurs sur ton terrain. Bon, je crois que t'es pas pénalement obligé, mais même principe que pour le reste, quand ils viennent te voir avec le fusil sur l'épaule pour te demander s'ils peuvent courser bambi en passant par ton parking, tu réponds oui. Enfin, tu hoches la tête pour signifier ton accord, parce que t'arrives pas à parler, rapport à la terreur.

Alors comme je flippe un peu de la chasse, des balles perdues et en règle générale des gens bourrés armés, je m'habille flashy les samedis où ces messieurs (cherche pas, y a pas de gonzesses dans le tas) viennent canarder autour de la baraque. Je revêts donc mon extrêmement seyante polaire rouge. Cela dit, existe toujours le risque qu'ils me prennent pour un sanglier avec une polaire rouge hein.

via www.ioudgine.com

C'est la saison de la chasse !