Communiqué de Greenpeace
Le Parlement européen a voté le soutien au classement du thon rouge en annexe 1 de la Cites, rejetant les amendements qui demandaient un délai de 18 mois. Les élus européens demandent donc à la Commission d’agir dès aujourd’hui pour sauver l’espèce !
La prochaine étape ? C’est le Conseil et la Commission européenne qui doivent se prononcer, avant la tenue de la Cites (13-25 mars). Les 27 pays de l’Union européenne se mettent généralement d’accord sur une position, que chaque pays porte ensuite lors de la conférence. La Commission doit prendre bonne note du cote, consultatif, du Parlement et respecter l’avis des députés.
La France doit elle aussi entendre l’avis des euro-députés : il est nécessaire d’arrêter les dommages causés au thon rouge de Méditerranée, notamment par la pêche industrielle. Greenpeace demande au ministre de l’Agriculture, Bruno Le Maire, d’appliquer le principe de précaution, en attendant l’interdiction du commerce international, et de décider d’un moratoire sur cette pêche industrielle. 17 500 personnes ont déjà fait parvenir cette demande au ministre sur www.greenpeace.fr/thon-rouge
y a des thons rouges en Normandie ?! :)
Rédigé par : Gaël | 19 février 2010 à 17:07
Non, mais il y a une forte concentration de Le Maire dans la presse locale :-)
Rédigé par : Laure | 19 février 2010 à 17:29
Bonsoir,
Si on m'avait dit, il y a un an qu'on verrait des infos "greenpeace" ici, j'aurai douté.
La conversion écologique fonctionne bien on dirait.
Quel type d'appareil utilisent-ils pour cahnger les gens à ce point.
Quoiqu'il en soit: Bravo pour le billet.
Rédigé par : quillet | 19 février 2010 à 19:51
S'il y a un maire qui té tué, ce n'est pas celui là! :-)
Rédigé par : chouchou | 19 février 2010 à 21:16
Greenpeace, comme toujours, s'en prend aux démocraties et se garde bien, la plupart du temps, de se frotter aux dictatures. Et puis... plus le message est lourd, plus il doit passer, n'est-ce pas? En résumé: le niveau de contestation des verts ne s'élève pas.
Rédigé par : François Rouen | 21 février 2010 à 18:06