Mais ceux qui
pariaient sur son renoncement se sont trompés. L’après-midi du 24 avril,
quarante-huit heures après le premier tour de la présidentielle, ils auraient
dû relever ce signe pourtant évident. En recevant le futur président de la
république en son hôtel de ville, encore hanté par « le roi Jean »
-Jean Lecanuet, qui fit en d’autres temps ce que Nicolas Sarkozy attend
aujourd’hui du centre, à savoir un allié objectif-, Pierre Albertini a envoyé un signe aux Rouennais. Il leur a
dit qu’il ne les laisserait pas.
Paru aujourd’hui dans cet excellent news magazine bien connu pour son indépendance, voire sa rebelle attitude face au pouvoir en place, j’ai nommé Le Point !
Muahaha... c'est énorme !
> trop drole,... merci Le Point ;p
Rédigé par : Utop_e | 31 octobre 2007 à 22:07
Pas la peine de l'acheter, il sera copié-collé en long et en large dans le journal de la cantinière.
Rédigé par : Jean le Pitre | 01 novembre 2007 à 09:09
Non mais c'est vrai, Pierre Albertini a envoyé un signe très fort aux Rouennais : contrairement à François Bayrou qui a changé, passé de centre-droite à démocrate, lui, il ne changera pas...
Rédigé par : Teddy | 01 novembre 2007 à 10:41
Ah ! ces journalistes du Point... Heureusement que Franz-Olivier Giesbzert est là pour nous rappeler la joie d'être gouverné par notre joyeux gai luron...
A quand le changement ? Laure, on compte sur vous !
Rédigé par : alexis | 02 novembre 2007 à 12:10
@ Jean le Pitre,
Sur les conseils d'un ami européen de MSA, j'ai acheté Le Point.
Et l'article sur Rouen déniaiserait n'importe quel béni oui-oui des néo-modems de Rouen.
ACHETEZ LE. :]
Rédigé par : chris | 02 novembre 2007 à 18:42