Si j’ai
bien compté, nous sommes à 36 jours du premier tour des élections municipales. Autant dire que l’on rentre dans le vif du sujet, le dur
des débats, etc. Les programmes des deux candidats sont parus. Les réunions
publiques et autres cafés débats sont annoncés. D’ici peu de temps, nous
connaîtrons la composition des listes.
J’ai très envie de faire une chronique de ces quelques semaines qui s’annoncent. Alors pour vous, lectrices et lecteurs tant aimés, je vais assister aux réunions, éplucher les programmes et les listes et puis je reviendrai vous raconter.
Et je commence dès ce soir en allant écouter Bertrand
Delanoé, le maire de Paris, qui vient soutenir Valérie Fourneyron à la salle
sainte Croix des Pelletiers. Mais j’irai aussi aux réunions organisées par l’un
et l’autre candidat dans mon quartier, à un café de campagne de Pierre
Albertini, aux grands meetings de fin de campagne, à tout je vous dis. Et puis
on jouera au jeu des 7 différences sur les programmes, on s’attardera sur les
trombinoscopes des listes, on tâtera l’ambiance sur les marchés.
Et pourquoi Adèle ? Ben, à cause d’Adèle Blanc Sec, feuilletoniste libertaire et fumeuse. Et puis j’adoooore Tardi.
Ca a bien commencé, la salle venue écouter Bertrand Delanoë soutenir Valérie Fourneyron vous a applaudi...
Rendez-vous après les élections pour construire un vrai centre.
Rédigé par : TOUFOU | 01 février 2008 à 22:07
Très content de vous avoir croisé ce soir, j'en profite pour saluer votre blog que j'aime beaucoup, même si je n'ai encore jamais posté de commentaire
Rédigé par : Alex | 02 février 2008 à 00:27
Me suis retrouvé sur ton blogue par le hasard des navigations point à point.
Très heureux d'y trouver un ton libertaire et aussi en illustration des petits bouts de strips de BD qui me sont chères.
A Boulogne-Billancourt, la tête de liste autoproclamée MoDem a réussi à ne pas être désavoué(e) au national, mais emmène la section dans le mur. Je me suis donc mis "en congé" pour travailler avec une liste qui n'est guère concurrente sur le fond, mais, elle, compte ce qu'il faut de compétences pour piloter une grande ville...
Bon courage et toutes ces sortes de choses.
Rédigé par : Jean-Pierre Desthuilliers | 13 février 2008 à 23:15