Vous l’aurez remarqué, depuis que je fréquente twitter, je suis devenue
paresseuse pour écrire. Un billet à la semaine en moyenne. Il faut dire que
cette expérience de micro-blogging qui permet de réagir avec brièveté et immédiateté
tout en partageant ce que je peux lire ne me pousse guère à communiquer plus.
J’ai ainsi pris l’habitude, chaque jour, de construire ma petite revue de
blogs en consultant mes multiples sources : tous les blogs auxquels je
suis abonnée par l’intermédiaire de ma liste google reader ; les sources
que je trouve citées par d’autres internautes sur twitter ou facebook ;
rajoutez les billets que je peux éventuellement glaner sur ma page CoZop. Je partage ainsi au quotidien mon best of qui
vient s’empiler sur ma page facebook ou dans ma timeline twitter.
Malheureusement, tous ces flux s’effacent au profit des nouveaux et il me
manquait un outil d’archivage.
D’où la création de ce nouveau site de micro-blogging, la punaise du net.
Je reprends le nom des chroniques hebdomadaires que j’écrivais au printemps
dernier mais qui m’astreignaient à un lourd travail d’écriture et à une
recherche de cohérence entre les billets pour lier la sauce. Or je suis devenue
une grosse feignante. Mon hébergeur m’offre aujourd’hui la possibilité avec un
habillage ready-made de proposer un site de mes promenades numériques. Un
regret toutefois, ne pas pouvoir l’arranger parfaitement à mon goût. Ainsi je
n’ai aucune maîtrise de la colonne latérale gauche où apparait mon compte
Typepad, assez peu fourni puisque je ne l’utilise pas, j’ai bien assez de
réseaux sociaux comme cela. Impossible également d’afficher les catégories, les
derniers commentaires ou les derniers billets comme il est d’usage sur ce blog
ci. Le principe est simple : quand un billet me plaît, je sélectionne une
zone de texte que je trouve particulièrement intéressante ou significative qui
se retrouve affichée sur la punaise du net. Un lien renvoie ensuite sur le
texte intégral. Je peux également
ajouter une note de commentaires. Le but étant bien sûr d’inciter le lecteur à
aller découvrir le blog de l’auteur du billet. Pour vous simplifier la lecture,
je laisserai en-tête du blog un petit mode d’emploi.
La punaise du net, mode
d’emploi :
Site de micro-blogging, la punaise du net vous offre une sélection
quotidienne de mes lectures. Les billets sont regroupés en sept grandes catégories :
Dans le cyber-espace, tout le monde
vous entend crier : où
il est question du net et de médias.
Du côté de chez moi : ce qui se passe à Rouen et jusqu’aux
confins de ma Normandie
Les restes du monde : comme son nom l’indique
Les femmes sont-elles des
blogueurs comme les autres :
je n’en suis pas si sûre
Politic, tic, tic : chez moi, c’est plus qu’un tic, c’est
une grosse manie
Ecologie : of course !
Just for fun : la situation est suffisamment
dramatique pour que l’on prenne le parti d’en rire
Je conserve bien sûr ce blog pour des billets de fond. La punaise du net
s’inspire directement de ce que font déjà Embruns et son carnet de bord ou Narvic
mais nous n’avons pas forcément les mêmes marottes lectures.
Voilà, vous pouvez aller faire un tour et découvrir déjà plus d’une
semaine de lectures. Et puis y retourner tant que vous voudrez. Et si cela ne
vous intéresse pas, ça me servira toujours d’archivage !
On peut aller troller là-bas ? J'y envoie Didier Goux ?
Rédigé par : Nicolas | 04 décembre 2009 à 14:37
Ravie de te retrouver, je t'avais perdue depuis quelque temps.
Il faut dire que j'ai déménagé sur blogger.
Je vais donc te suivre à nouveau régulièrement.
A bientôt
Rédigé par : aliciabx | 04 décembre 2009 à 15:05
@ Nicolas : Mais comment donc ! Je ne suis plus à un troll près :))
@ aliciabx : contente de te retrouver aussi, je m'en vais visiter ta nouvelle maison
Rédigé par : Laure | 04 décembre 2009 à 17:52
on suit, on twitte, on microblogue - mais qui écrit au fond ? Heureusement, il restera les journalistes !-)
Rédigé par : A Facebook User | 04 décembre 2009 à 23:00
Oui mais je n'ai pas Twitter alors pense à moi !
Rédigé par : LCDM | 09 décembre 2009 à 10:41