Blog de Laure Leforestier

Le jeu concours de l’été

Ce matin, il était plus que temps, j’ai envoyé ma démission du Conseil national du Modem. Je ne reviendrai pas sur les raisons qui me font partir, il suffit de relire les billets de ce blog au fil de ses deux ans d’existence pour comprendre.

Nombreux sont ceux qui comme moi ont quitté cette aventure qui s’annonçait si alléchante au lendemain des présidentielles 2007 et dont les ambitions se sont réduites à peau de chagrin depuis. Certains savent traiter de cette question avec humour. Ainsi Leroy-Morin, avant de partir au soleil, vient de lancer une grande cause pour l’été que vous pouvez retrouver sur Facebook. Enrichissez les aventures de Toto au Modem. De quoi s’agit-il ? Cliquez et vous découvrirez une planche de BD où les bulles sont vierges. A vous d’imaginer les dialogues en vous inspirant de votre propre expérience au sein du Modem.

Voici deux exemples, localisés à Villemomble et dans le 93. 

J'ai le sentiment que l’on  pourrait aisément changer le nom de la commune ou du département. Maintenant lecteurs, amis Modem et déçus du Modem, à vous de jouer ! Remplissez la planche avec des dialogues de votre cru. Il n’y a bien sûr aucune discrimination de ma part, et mes lecteurs socialistes peuvent jouer aussi, je suis persuadée que leur parti offre des épisodes au moins aussi comiques.

Personnellement, je vais m’atteler à la rédaction de dialogues et je vous en livrerai le résultat à la fin de l’été. Un seul reproche : Leroy-Morin (cette feignasse !) n’a pas eu le courage de créer un générateur, il vous faudra donc user de méthodes artisanales pour remplir la planche.

Mon petit doigt m’a dit

J’apprends que Paris-Normandie doit sortir un papier sur l’état de l’opposition municipale à Rouen. Détachée des contingences de la représentation politique et de la langue de bois, je vais vous dresser l’état des lieux tel que je le perçois.

Petit retour en arrière : En décidant de se présenter aux municipales, Pierre Albertini se faisait du même coup, le fossoyeur de l’UMP et du Modem à Rouen. Le fossoyeur d’une future opposition municipale aussi, puisque avec en tête de liste, pour le casting, beaucoup de candidats néophytes en politique et issus de la « société civile ».

Soyons clairs, en tout état de cause, la victoire aux municipales revenait à Valérie Fourneyron. Mais une liste UMP d’un côté et une liste Modem indépendante de l'autre aurait donné plus d’élus à ces partis que le tour de passe-passe qui fut réalisé avec la concoction de la liste « Confiance en Rouen ».

A l’issue de la raclée historique, les membres de la dite liste se sont constitués en deux groupes. D’un côté un groupe formé par trois UMP, deux anciens adjoints et une nouvelle venue. D’un autre côté, un groupe hétérogène formé par tous ces membres issus de la société civile et à l’époque 4 Modem. Le groupe décide de s’appeler d’un intitulé plutôt fumeux : Centristes, Démocrates et Indépendants, plus communément désigné sous les initiales de CDI. Catherine Morin-Desailly, alors présidente du Modem, prenait la tête de ce groupe peu rompu aux joutes politiques et se dépêchait de se positionner comme opposante numéro un.

L’automne arrive et tout un lot de métamorphoses avec lui. La sénatrice autrefois Modem décide de rejoindre le Nouveau Centre et les militants UMP décident quant à eux de ne pas choisir Bruno Devaux comme responsable de la circonscription de Rouen, lui préférant Jacques Duval. C’est là où mon petit doigt entre dans la confidence et qu’il me glisse à l’oreille que notre anesthésiste mangeur de maïs transgénique en aurait conçu quelque ombrage. Ni une ni deux, le voilà qui demande l’asile politique au groupe CDI. Embarras de la sénatrice, qui, connaissant quelque peu le lascar, ne tient pas à faire entrer le loup dans sa bergerie. Je ne doute pas qu’en femme bien élevée, elle aura su lui signifier un refus poli.

Qu’à cela ne tienne ! L’ancien adjoint au Grand Projet de Ville puis à la Démocratie locale n’en tiendra pas rigueur à son ancienne collègue. La preuve, il se félicite aujourd’hui de la voir rejoindre clairement la majorité présidentielle. Ensuite, il s’égare un peu quand il affirme que ceci est de nature à permettre un rapprochement politique entre le groupe UMP et le groupe centriste qu'elle préside au conseil municipal de Rouen.

A ma connaissance, seule Catherine Morin-Desailly a rejoint le parti des traîtres Nouveau Centre, pas les autres membres de son groupe. Et donc, ne serait-il pas plus logique que ce soit cette dernière qui demande à rejoindre le groupe UMP ?

En tout état de cause, Régine Marre, aujourd’hui vice-présidente du Modem 76 aura à cœur de faire entendre la voix du Mouvement Démocrate au sein du conseil municipal de Rouen. Une voix qui ne se complaira pas dans la défense de la précédente municipalité et de son bilan mais qui tentera d’aborder sans complaisance et sans parti-pris les actions de l’actuelle équipe.

T’aurais dû m’écouter François !

Alertée par les inénarrables Leroy-Morin du Nouveau Centre, le parti sous la tutelle polynésienne au label élyséen, j’ai vérifié cette information sur le site plus officiel et moins rigolo des sociaux-traîtres. Bon débarras se réjouissent certains normands, oui mais un peu tard. Elle a fait gros bobo, la dame ! Tout ceci me rend encore plus triste d’avoir eu raison un an trop tôt. T’aurais dû m’écouter François !

Voici ce que j’écrivais en décembre : Mon ressenti du paysage politique rouennais me laisse prévoir que cette liste fournira 12 élus d’opposition dont 3 ou 4 « étiquetés » Mouvement Démocrate. A ce prix là, je pense qu’une liste indépendante permettait d’éviter tout compromis avec l’UMP.

En fait j’étais un poil trop optimiste, aujourd’hui Rouen compte deux élues municipales étiquetées Modem.

Nota Bene une heure après avoir publié ce post : Sûr que si paresseux comme à ton habitude, cher lecteur, tu ne cliques pas sur les liens, tu ne peux rien comprendre à ce que je viens d’écrire.

Toujours là ?

A voir la fréquentation du blog, on peut se poser la question...

Sinon, voilà comment je m’occupe en ce début du mois d’août. Les adhérents Modem de Seine-maritime le savent déjà, je fais partie de la commission électorale de Seine-Maritime qui veille au bon déroulement des élections internes au Mouvement prévues le 27 septembre.

La commission électorale 76 lance un site destiné à fournir toutes les informations concernant ces élections internes où les adhérents seront appelés à désigner leurs représentants au sein des instances et fonctions dirigeantes de leur Mouvement départemental. Ce site n’est pas un site partisan. Pour garantir la sérénité des débats, il est fermé aux commentaires. Les adhérents peuvent, cependant à tout moment, écrire à la commission ou la questionner.

En me baladant sur le net, j’ai pu remarquer quelques autres commissions au travail en France :

Dans le Gard, le Bas-Rhin, les Yvelines, la Haute-Savoie et les Hauts-de-Seine. Et ailleurs que se passe-t-il ? Si vous en connaissez d’autres, faites moi signe et dites moi aussi ce que vous pensez de notre site.

Les aventures du Petit Grognard : bienvenue chez les Chtis de l’ouest

Voilà un billet, et je m’en excuse par avance auprès de mes lecteurs rouennais, qui s’adresse plus à la blogoboule Modem où tout le monde connaît cette peste de Petit Grognard, alias Jeune Modem 31, alias Benjamin. La terre s’est écroulée quand il a cessé de bloguer mais il continue malgré tout à sévir par ci par là, sans parler de sa foultitude de commentaires sur de nombreux blogs.

L’Armada est un bon prétexte pour recevoir des amis lointains, c’est ainsi que vendredi, Teddy s’en est parti quérir notre ami toulousain, pour l’accueillir le temps d’un long week-end. Un peu comme des boxeurs, nous nous étions lancés des défis avant cette venue, témoin l’inquiétude qui transpire sur la page facebook de l’intéressé le 9 juillet :

Benjamin sort ce soir mais ne boira pas parce qu'il sait que les Normands vont tenter de le mettre KO ce week-end.

Le 11 au matin, Benjamin est prêt à partir, il fait ses valises :

Benjamin prend un petit pull pour sa visite de Rouen : les Normands, c'est comme les Chtis, mais à l'Ouest...

Le malheureux, apparemment ignorant des conditions climatiques vigoureuses de nos joyeuses contrées vikings, emporte en fait un léger pull de coton transparent et mauve, qui se porte à même la peau et deux ou trois tee-shirts. Dès son arrivée à la gare de Rouen, une première averse lui fait réaliser que cette boutade à propos des Chtis de l’ouest était de fait une frigorifiante réalité.

Le soir, je n’hésite pas à traverser  la Seine et à passer sur la rive gauche pour aller retrouver Petit Grognard et Teddy, nouvellement installé dans son palace. Des nouvelles de Teddy ? Le pauvre, est coupé du monde depuis son déménagement... Il me raconte une histoire, incompréhensible pour quiconque qui n’est pas titulaire d’un doctorat d’informatique, sur l’impossibilité de faire reconnaître sa Freebox à sa bécane ou un truc dans le genre, vous aurez compris que je ne suis pas du genre à m’emmerder avec la technique, faut que ça marche, sinon je deviens hystérique. Moi, quand ça déconne, le seul remède que je connaisse, c’est éteindre et rallumer la Livebox.

Nous sommes tous fort heureux de nous retrouver et arrosons cet événement au champagne. La conversation roule ensuite sur la blogoboule Modem, nous disons bien sûr beaucoup de mal de beaucoup de blogueurs et blogueuses, ne comptez pas sur moi pour vous dire qui, je suis déjà assez fâchée comme ça, en tout cas nous n’épargnons pas grand monde. Benjamin a l’air curieux de connaître les us et coutumes des indigènes, je lui enseigne donc en fin de repas la rinchette mais nous remplaçons le calva par un rhum anejo vénézuélien.

Au moment de sortir, Teddy propose aimablement à Benjamin l’un de ses pardessus. Mais notre Jeune Modem haut garonnais ne fait pas tout à fait le même gabarit que le rouennais, il est en outre fort soucieux de son image. Il décline l’offre. Avec Teddy, bien au chaud dans nos parkas, nous nous regardons du coin de l’oeuil, il va en chier avec son petit pull mauve à même la peau mais il faut bien qu’il apprenne…

Nous retraversons la Seine  en métro. « Oh, des bateaux ! » s’émerveille notre jeune ami quand nous passons sur le pont Jeanne d’Arc. Ouais, c’est ça, mais les deux rouennais blasés que nous sommes, à leur 5^e édition armadesque, avons déjà décidé que ce soir nous irions plutôt explorer la vieille ville, étant donné que les quais, j’en ai déjà parlé, il n’y a rien de marrant la nuit.

Découverte assez tradi de la vieille cité, de ses maisons à pans de bois et de ses terrasses non chauffées. Je prends congé des garçons place de  la Cathédrale, ils s’en retournent de l’autre côté de l’eau et moi je démarre l’ascension vers le grand nord.

Nous nous retrouvons dans un café ce matin où nous avons le plaisir de montrer à Benjamin à quoi ressemble une petite réunion Modem improvisée. Il s’éclipse assez rapidement. Il est vrai qu’il vient de noter sur sa page facebook :

Benjamin aurait dû prendre plus qu'un petit pull pour la Normandie..

Quand il revient, il s’est acheté une espèce de serpillière un pull de laine beige chez Zara. J’ai beau lui faire remarquer qu’un vêtement de pluie eût été plus judicieux, il n’a pas l’air de comprendre, je crois qu’il faut encore qu’il apprenne.

L’avis d’un Modem toulousain sur nos adhérents m’intéresse. Il a cette remarque qu’il ne les trouve pas très « glamour » (j’utilise ses termes), ils auraient « des faces de bougies », expression qui s’emploierait là-bas dans les pays où il fait chaud et les cigales crissent. Nous concluons tous deux dans un soupir : Le Modem, ce n’est pas assez giboyeux !

Après un déjeuner fort sympathique chez Dame Cake, je laisse Teddy et Benjamin s’acheminer vers les quais. Je ne manquerai pas de vous raconter la suite des aventures de notre petit Grognard. J’en profite pour lancer un appel. Si quelqu’un a des nouvelles de Virginie V., nous devions dîner ensemble ce soir et elle ne sait pas ce qu'elle rate…

Il commence à apprendre car comme vous pouvez le constater sur la photo, cet après-midi, il avait mis un tee-shirt sous son pull

Cantonales partielles : les résultats

On votait aujourd’hui à Rouen sur le 5^e canton. Voici les résultats :

Inscrits : 7996

Suffrages exprimés : 1900 soit un petit 25 % de participation, faible mais habituel pour une élection partielle.

Arrive en tête au premier tour la candidate PS, Christine Rambaud qui avec 668 voix réalise un score de 35%. Elle est suivie par le candidat UMP, Jean-François Bures avec 502 voix et 26 %. Juste derrière, Jean-Michel Bérégovoy, le candidat Vert avec 438 voix et 23% des suffrages. Matthieu Amelot, le candidat Modem est quatrième avec 119 voix et 6% des suffrages. Viennent ensuite le PC (4%), et les candidats d’extrême gauche réalisant chacun 2,5 % des suffrages.

Je reviendrai demain commenter ces résultats.

Fighting spirit

J’ai reçu leurs professions de foi, il y a bien sept candidats à l’élection du 5^e canton qui aura lieu, je vous le rappelle, les 8 et 15 juin. Au moins cinq d’entre eux ou leurs représentants seront présents pour débattre ensemble ce mercredi : Matthieu Amelot (Modem), Jean Michel Bérégovoy (les Verts), Jean-François Bures (UMP), Christine Rambaud (PS) et Sambara Samba-Malanda (PCF). A ma connaissance, nous attendons toujours la confirmation de Leila Messaoudi de la gauche révolutionnaire, et de Thomas Capron, suppléant de Solène Duparc des Alternatifs qui n’ont pas encore répondu à l’invitation.

Organisé au *café de l’Epoque, à l’initiative des associations

La Puce

à l’oreille, Vanille Citron, et la radio HDR, le débat aura lieu mercredi 4 juin de 17h00 à 19h00.

Venez y nombreux, en effet, ce débat a lieu en direct et en public, un public qui lui même est invité à débattre avec les invités au cours de l’émission. Un vrai moment de démocratie radiophonique réinventé par Michel Mackoviak, Yves-Marie Déniel et radio HDR.

*Café de L’Epoque 43 Rue A.Carrel 76000 Rouen

Bouffée d’air

Pas mal de monde jeudi dernier à la Brasserie Paul où les conseillers nationaux (Régine Marre, Jean-François Peau et moi-même) avaient donné rendez-vous aux adhérents Modem du département pour leur rendre compte du premier Conseil national.

La première heure fut consacrée au rappel du cadre donné par les statuts, et l’adoption du règlement intérieur par les conseillers nationaux le 14 mai ainsi que les implications pour la future constitution du Conseil et du Bureau départemental. Exercice sans doute un peu fastidieux mais nécessaire pour un mouvement encore en gestation. Pendant la seconde heure, la parole fut largement donnée aux militants et force est de constater l’impatience des adhérents à s’atteler enfin au débat politique et à la construction. Un sentiment assez communément partagé d’avoir perdu près d’un an et le désir de voir désormais notre mouvement départemental fonctionner de manière plus démocratique et plus transparente. Je tiens à souligner la qualité et la liberté des échanges. Vraisemblablement, la date commune à tous les mouvements départementaux pour l’élection du conseil et de la présidence est fixée à la fin septembre. Le siège va bientôt désigner un animateur pour assurer la transition, la présidence étant désormais vacante depuis la démission de Catherine Morin-Desailly. Vendredi, la même réunion s’et tenue au Havre, animée cette fois-ci par Florent Saint-Martin et Jean-François Peau.

Le prochain conseil national se tiendra le 7 juin. A l’ordre du jour : l’approbation de la création par le Président de fonctions ou postes utiles à la bonne organisation du Mouvement, l’élection des membres du Comité de Conciliation et de Contrôle, l’élection du Médiateur des adhérents, l’élection du Secrétariat du Conseil national, l’examen du calendrier européen et un débat de politique générale.

Rendez-vous a déjà été pris avec les adhérents le 19 juin, même heure, même endroit pour leur rendre compte des décisions du prochain conseil national et certainement aborder ensemble la manière dont nous souhaitons voir fonctionner notre fédération.

Le règlement intérieur adopté précise que les conseillers nationaux sont membres de droit du Bureau départemental. Etant personnellement opposée aux cumuls des mandats, je ne serai donc pas candidate, que ce soit à la présidence ou au Conseil départemental, et me contenterai d’assumer pleinement la mission que les adhérents m’ont déjà confiée. Je tenais à faire d’ores et déjà cette précision au vu de certains commentaires sur ce blog et à la suite d’un article du Havre Libre cette semaine, que je n’ai pas lu, et qui, paraît-il, posait la question de la succession de Catherine Morin-Desailly en me citant.

 

Non, en Seine-Maritime le Modem n’est pas mort

La semaine dernière, dans la gazette locale, vous pouviez lire la démission de Catherine Morin-Desailly à la présidence du modem 76. L’un après l’autre, les sénateurs centristes s’en vont. Mais au fait, que représentent-ils ? Ils n’ont pas été élus au suffrage universel et l’on peut parfois se poser la question de savoir s’ils ne songent pas, malgré les précautions de langage, à préserver le renouvellement de leur élection, pour certains, à l’automne prochain…

Nous ne resterons pas orphelins bien longtemps, nous pouvons peut-être enfin imaginer de passer à l’action et je tiens à vous faire part de la réaction des conseillers nationaux de Seine-Maritime :

Réaction à la démission de Catherine Morin-Desailly

Par un courrier adressé le 19 mai dernier à l’ensemble des adhérents du MoDem de Seine-Maritime, Catherine Morin-Desailly a annoncé sa décision de démissionner de la Présidence de notre mouvement départemental.

Nous prenons acte de cette décision, mais tenons à garantir aux adhérents et aux sympathisants de la volonté intacte et très déterminée des responsables locaux du MoDem de poursuivre la construction de notre formation politique dans le département.

Plus que jamais nous avons besoin d’une troisième force indépendante, responsable et porteuse d’un projet novateur.

Sous le contrôle des instances nationales du MoDem, et dans le cadre du règlement intérieur adopté par le Conseil national du 14 mai 2008, l’élection d’un nouveau comité départemental, ainsi que d’une nouvelle présidence départementale seront organisés dans les meilleurs délais, et, si cela est techniquement possible, avant l’été.

Une information détaillée sera envoyée aux adhérents pour permettre une déclaration des candidatures dans les meilleures conditions.

Dans l’intervalle, deux réunions sont organisées par les conseillers nationaux pour faire un point sur le nouveau règlement intérieur :

• l’une à Rouen jeudi 29 mai à 18h30 à la Brasserie Paul (sous-sol), Place de la Cathédrale

• l’autre au Havre, vendredi 30 mai à 18h30 au café l’Acrobate, 77, Rue Louis Brindeau Dans l’attente de vous rencontrer,

Les conseillers nationaux du département

Laure LEFORESTIER

Régine MARRE

Florent SAINT-MARTIN

Jean-François PEAU

En espérant vous y rencontrer nombreux.

A Rouen, la droite ratisse large

Dans 3 semaines maintenant, élection cantonale partielle sur le 5^e canton de Rouen. A gauche, il y a un max de candidats, 5 si je sais compter. Au centre pour le Modem, il y a mon candidat préféré (désolée Jean-Michel…). A droite, c’est vrai que la droite est à poil en Seine-Maritime, il leur reste plus grand-chose aux sarkozystes à part Le Havre. Alors l’UMP envoie un garçon, sympathique au demeurant, mais qui n’ose même plus afficher le logo de la maison mère sur son tract de campagne. Il n’est en revanche pas gêné pour se réclamer, entre autres, du centre. Tiens, ça me rappelle quelque chose…

C’est ça le drame avec ces partis hégémoniques, ça les rend dingues ceux qui se veulent non assujettis, alors ils tentent tout pour les flinguer en les écrasant.

Ca doit être aussi pour ça qu’en ce moment, les sénateurs traînent des pieds côté Modem. Chut ! Ne le répétez pas, que cela reste entre nous, ça n’est pas qu’en Mayenne, c’est aussi par chez nous, ces états d’âme sénatoriaux et la nostalgie d’une grande famille centriste réunie. Et c’est bien pour tout cela que définitivement, je préfère me définir comme démocrate plutôt que centriste.